Longtemps témoin des ravages de la maladie en milieu carcéral (de Je hais les matins aux Chroniques carcérales), Rouillan témoigne de l’expérience la plus directe : la sienne. En l’occurrence il est atteint d’un syndrome de Chester Erdheim, maladie orpheline qui a été diagnostiquée juste à temps, mettant sa survie en danger. Ces récits sont aussi l’occasion de revenir sur ses quelques mois de semi-liberté et de porter son regard, celui d’un militant révolutionnaire, sur le monde de l’Extérieur et le type de liberté qui y a cours.

Les éditeurs, dans une préface qui suit celle de De Mémoire 2, reviennent sur les conditions de semi-liberté, les dysfonctionnements de la justice, et leur perception au quotidien d’un collègue qui sort de 20 ans de détention.

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